Sa majesté des mouches
Sa Majesté Des Mouches (ou Lord Of The Flies en version originale) est un roman anglais de William Golding, publié en 1954. Il compte environ 250 pages (variable selon édition).
Description :
Quelque part, sur une île inconnue, en plein milieu de l'océan, un avion s'écrase. Seuls survivants de cet accident, un grand nombre de jeunes enfants (exclusivement masculins pour des raisons inconnues) qui vont tenter de survivre et de cohabiter jusqu'à l'éventuelle arrivée des secours. A la tête du groupe se tient Ralph, un jeune collégien britannique tentant de faire régner la cohésion parmi les autres garçons, malgré les difficultés rencontrées. Afin de quitter l'île le plus rapidement possible, il fixe comme objectif principal l'entretien d'un feu au sommet de la montagne la plus élevée de l'île, afin de capter l'attention des bateaux passant à proximité. Bien qu'au début de leur séjour, les enfants se plient docilement aux ordres donnés par Ralph, une sorte de mouvement opposé va peu à peu voir le jour en la personne de Jack Merridew, un autre enfant échoué sur l'île, qui va entrer en désaccord avec le chef sur pas mal de points, ce qui va entraîner la séparation du groupe en deux autres distincts, dont l'hostilité mutuelle grandit progressivement.
Notre avis :
Ce livre est réellement mauvais, que ce soit par son concept de base, son style d'écriture maladroit (dans la version originale comme dans la traduction), le niveau de langue absolument pas adapté aux protagonistes du récit, mais aussi et surtout, sa fin complètement bâclée et injustifiée, qui laisse énormément de questions sans réponse : on a l'impression que l'auteur était brusquement forcé, à un certain point, de finir son récit en 2 pages.
Personnages : Bien que l'auteur tente de donner un semblant de densité à ses personnages, ce n'est que de bluff et, si l'on gratte un peu la peinture, on trouve des pantins sans personnalité s'exprimant et se comportant tous de la même manière. 1/10.
Originalité : Dans son livre, l'auteur fait lui-même référence à des œuvres telles que Robinson Crusoé, ou encore L'Île Au Trésor. Si l'on peut taxer Golding de manque d'originalité, on ne peut pas lui reprocher de ne pas l'assumer. 4/10.
Scénario : Plat, vide et inintéressant du début à la fin (surtout au milieu d'ailleurs). 2/10.
Addiction : J'avoue avoir lu ce livre assez rapidement, mais c'était moins par attrait que par envie d'en finir au plus vite. 0/10.
Points positifs : Bien que très maladroitement, l'auteur tente d'apporter une réflexion philosophique (mal traitée, certes, mais présente tout de même) à son œuvre, on peut honorer l'effort.
Points négatifs : Des personnages vides, un scénario qui l'est tout autant, un manque d'inspiration flagrant, une fin bâclée et expéditive, un style d'écriture à vomir.
Nous le notons :
7/20
*Nota Bene : La note globale est une appréciation générale de l'oeuvre, et non une moyenne de toutes les notes.
- Niro, 25/09/2017
Description :
Quelque part, sur une île inconnue, en plein milieu de l'océan, un avion s'écrase. Seuls survivants de cet accident, un grand nombre de jeunes enfants (exclusivement masculins pour des raisons inconnues) qui vont tenter de survivre et de cohabiter jusqu'à l'éventuelle arrivée des secours. A la tête du groupe se tient Ralph, un jeune collégien britannique tentant de faire régner la cohésion parmi les autres garçons, malgré les difficultés rencontrées. Afin de quitter l'île le plus rapidement possible, il fixe comme objectif principal l'entretien d'un feu au sommet de la montagne la plus élevée de l'île, afin de capter l'attention des bateaux passant à proximité. Bien qu'au début de leur séjour, les enfants se plient docilement aux ordres donnés par Ralph, une sorte de mouvement opposé va peu à peu voir le jour en la personne de Jack Merridew, un autre enfant échoué sur l'île, qui va entrer en désaccord avec le chef sur pas mal de points, ce qui va entraîner la séparation du groupe en deux autres distincts, dont l'hostilité mutuelle grandit progressivement.
Notre avis :
Ce livre est réellement mauvais, que ce soit par son concept de base, son style d'écriture maladroit (dans la version originale comme dans la traduction), le niveau de langue absolument pas adapté aux protagonistes du récit, mais aussi et surtout, sa fin complètement bâclée et injustifiée, qui laisse énormément de questions sans réponse : on a l'impression que l'auteur était brusquement forcé, à un certain point, de finir son récit en 2 pages.
Personnages : Bien que l'auteur tente de donner un semblant de densité à ses personnages, ce n'est que de bluff et, si l'on gratte un peu la peinture, on trouve des pantins sans personnalité s'exprimant et se comportant tous de la même manière. 1/10.
Originalité : Dans son livre, l'auteur fait lui-même référence à des œuvres telles que Robinson Crusoé, ou encore L'Île Au Trésor. Si l'on peut taxer Golding de manque d'originalité, on ne peut pas lui reprocher de ne pas l'assumer. 4/10.
Scénario : Plat, vide et inintéressant du début à la fin (surtout au milieu d'ailleurs). 2/10.
Addiction : J'avoue avoir lu ce livre assez rapidement, mais c'était moins par attrait que par envie d'en finir au plus vite. 0/10.
Points positifs : Bien que très maladroitement, l'auteur tente d'apporter une réflexion philosophique (mal traitée, certes, mais présente tout de même) à son œuvre, on peut honorer l'effort.
Points négatifs : Des personnages vides, un scénario qui l'est tout autant, un manque d'inspiration flagrant, une fin bâclée et expéditive, un style d'écriture à vomir.
Nous le notons :
7/20
*Nota Bene : La note globale est une appréciation générale de l'oeuvre, et non une moyenne de toutes les notes.
- Niro, 25/09/2017