Voyage au centre de la terre
Voyage Au Centre De La Terre est un roman français de science-fiction, écrit par Jules Verne, paru en 1864 (donc à replacer dans son contexte). Il compte un peu plus d'une centaine de pages.
Description :
Axel est le neveu d'un vieux scientifique du nom de Lidenbrock, qui ne vit que pour la science, la découverte et tout ce qui y est lié. Un jour, il trouve un manuscrit runique qu'il parvient à déchiffrer au bout de nombreux essais, et découvre le message renfermé : il est indiqué qu'il est possible de se rendre au centre de la Terre en entrant dans le cratère du Sneffels, un volcan situé en Islande. Sans aucune forme de procès, Lidenbrock emmène Axel avec lui et fait route pour l'Islande, où ils trouveront un guide du nom de Hans, qui sera prêt à les accompagner au terme de leur voyage.
Notre avis :
Bien que conscient que Voyage Au Centre De La Terre est un récit prêtant à l'émerveillement et la découverte, je ne peux que déplorer la fantaisie du récit, qui brise la plupart des lois fondamentales de l'évolution et de la physique, sans donner aucune explication rationnelle. Décevant de la part d'un écrivain de cette carrure.
Personnages : Les personnages sont vides, ne parlent quasiment jamais et n'ont pas de personnalité propre. 2/10.
Originalité : L'avantage avec Jules Verne, c'est qu'il écrit des histoires originales et innovantes. 8/10.
Scénario : Le scénario de ce livre est une catastrophe absolue, du début à la fin. Je passerai le prétexte au voyage, qui pourrait à la rigueur être considéré comme légitime. On a l'impression que l'auteur n'a rien à nous dire, et qu'il se contente de remplir son récit d'éléments inutiles ; de plus, même quand on se retrouve face à une situation potentiellement intéressante, elle est balayée au bout de 3 pages sans aucune explication ni aucun développement. 1/10.
Addiction : Inintéressant au possible. 3/10.
Points positifs : Jules Verne.
Points négatifs : Aucun réalisme, un scénario et un récit fades et mal maîtrisés.
Nous le notons :
10/20
*Note : La note globale est une appréciation générale de l'oeuvre, et non une moyenne de toutes les notes.
- Niro, 21/10/2016
Description :
Axel est le neveu d'un vieux scientifique du nom de Lidenbrock, qui ne vit que pour la science, la découverte et tout ce qui y est lié. Un jour, il trouve un manuscrit runique qu'il parvient à déchiffrer au bout de nombreux essais, et découvre le message renfermé : il est indiqué qu'il est possible de se rendre au centre de la Terre en entrant dans le cratère du Sneffels, un volcan situé en Islande. Sans aucune forme de procès, Lidenbrock emmène Axel avec lui et fait route pour l'Islande, où ils trouveront un guide du nom de Hans, qui sera prêt à les accompagner au terme de leur voyage.
Notre avis :
Bien que conscient que Voyage Au Centre De La Terre est un récit prêtant à l'émerveillement et la découverte, je ne peux que déplorer la fantaisie du récit, qui brise la plupart des lois fondamentales de l'évolution et de la physique, sans donner aucune explication rationnelle. Décevant de la part d'un écrivain de cette carrure.
Personnages : Les personnages sont vides, ne parlent quasiment jamais et n'ont pas de personnalité propre. 2/10.
Originalité : L'avantage avec Jules Verne, c'est qu'il écrit des histoires originales et innovantes. 8/10.
Scénario : Le scénario de ce livre est une catastrophe absolue, du début à la fin. Je passerai le prétexte au voyage, qui pourrait à la rigueur être considéré comme légitime. On a l'impression que l'auteur n'a rien à nous dire, et qu'il se contente de remplir son récit d'éléments inutiles ; de plus, même quand on se retrouve face à une situation potentiellement intéressante, elle est balayée au bout de 3 pages sans aucune explication ni aucun développement. 1/10.
Addiction : Inintéressant au possible. 3/10.
Points positifs : Jules Verne.
Points négatifs : Aucun réalisme, un scénario et un récit fades et mal maîtrisés.
Nous le notons :
10/20
*Note : La note globale est une appréciation générale de l'oeuvre, et non une moyenne de toutes les notes.
- Niro, 21/10/2016